767 Chanson (s) Francophone (s)

40 chansons enfantines revisitées à la sauce Meli Mômes... Du jazz au funk, du rock au reggae, du classique au punk, ils nous proposent une vision nouvelle et délurée du répertoire enfantin connu de tous. On retrouve dans ce double album incontournable l'énergie et la fraicheur des 1ers albums de Méli Mômes déjà plebiscitées par des milliers de familles.

Groupe toulousain mélangeant le rock, le blues et le hip-hop.

Après 'Ego le cachalot' en 2013 et 'Ego le cachalot et les p'tits bulots' en 2016, le cétacé préféré des enfants revient en super héros muni d'une cape, d'un masque et d'un slip! Véritable succès public (20 000 disques vendus) et critique (Astrapi, Télérama Enfants, ...), ce nouvel album crânement intitulé Super ego s'inscrit dans la lignée des précédentes productions. Derrière cet imposant cachalot mé(ga)lomane, l'auteur-compositeur rennais David Delabrosse continue de parler aux enfants du monde complexe d'aujourd'hui de façon ludique et poétique. Les chansons abordent les préoccupations des générations actuelles et futures comme la question environnementale avec 'Y'a des hics' ou celle du féminisme avec 'Miaulita', militante au royaume des chats et fondatrice du mouvement 'minou.' 'Ego le cachalot' est aussi une 'bête de scène' avec plus de 300 représentations au compteur dans l'hexagone et les pays francophones. Fidèle à un registre pop, les nouveaux 'tubes' d'Ego feront chanter et danser petits et grands au rythme du ukulélé, des percussions et des claviers analogiques. Gageons que 'Super ego' parvienne, sinon à nous sauver, au moins à nous divertir intelligemment!

Wallace nous engage à préférer aux balisants solides boulevards microsillonnés, les échancrures réjouissantes, le mal confort singulier de pistes poétiques, chatoyantes de risques et autres édifiants cahots. Partagez, si le coeur vous y porte, leur étonnement renouvelé de pas comprendre... ensemble. Chavirez à leurs Sètois feux et transports émotionnels...

Alors que toute une tournée s'annulait, Boulevard des Airs a pris les choses en main et voulu colorer les mois qui venaient. Du confinement sont nés plusieurs duos, et cette envie d'en faire un album. De l'été qui suivait sont nés beaucoup de mots, de mélodies, et d'envies de créer. C'est au final un album hybride de plus de 24 titres qui verra le jour en novembre. Une partie, toute en partages, revisite le répertoire du groupe. Une autre nous plonge dans son histoire et son univers à travers un album comportant12 titres inédits, inattendus. Des titres inédits et des duos avec des invités exceptionnels ! Des invités exceptionnels : Jeremy Frerot, Vianney, Lola Dubini, Claudio Capéo, Gauvin Sers, Tibz, Yannick Noah, Doya, Patrick Bruel, Tryo.

La voix est chaude, elle prend par la main. La mélodie est indélébile, sans attendre, elle ne quitte plus le coeur de celui qui l'écoute... Pop, folk, électro, peu importe, Igit trace sa route loin des clichés, en toute liberté. Cet album, c'est le regard d'un songwriter élégant et aérien qui a tout écrit et qui préfère, à la peur qui dévore tout ces derniers temps, la poésie qui élève, celle qui refuse d'abdiquer. 13 titres dont "Des conséquences", "Marcher loin / Joie" et "Noir et blanc", un duo exceptionnel avec Catherine Deneuve.

Après un premier album, Jamais sans la nuit, paru en 2017, Blondino revient avec Paradis pour moi. Sa voix singulière retrouve l'écrin d'une pop tendue et vibrante. Des chansons sensibles et enveloppantes, qui emmènent l'auditeur vers la rêverie, l'introspection... Chantant très près du micro pour influer directement sur l'imaginaire de l'auditeur, Blondino distille une poésie subliminale au service de planantes mélodies. Voix si singulière qu'elle semble s'insinuer en nous jusqu'au vertige, nous envelopper d'espoir, voix charnelle et amie qui nous réconforte avec l'humain. Voix qui ne hausse jamais le ton, même quand elle chante Mes indépendances et ma révolte, voix qui ose être elle-même, à l'instar d'autres grandes et envoûtantes voix féminines qui ne trichent pas, comme celles de Weyes Blood, de Angel Olsen ou de Cat Power.

Quatre ans après son dernier album, Olivia Ruiz est de retour avec un cinquième album, moderne et personnel, qu'elle a écrit et co-composé. On y découvre une nouvelle Olivia Ruiz qui se livre comme jamais. Elle chante les métamorphoses, les corps qui ne sont rien sans l'esprit, le combat pour accepter que les miroirs ne disent pas toujours la vérité, la force, les cojones (elle n'en manque assurément pas) pour offrir au monde ses créations, la fragilité oxygène, tous ces regards qui comptent, qui sauvent ou qui terrassent. Elle est à la fois aérienne et charnelle, amusée et effrayée, volontaire et incertaine, fragile et vaillante, à l'instar du premier extrait présenté, "Mon corps mon amour".